Une gardienne de la paix dépressive, qui avait été victime d’un viol à Bobigny (Seine-Saint-Denis) en 2007, a été retrouvée mort au pied d’un pont, mercredi matin à Toulouse. Elle aurait mis fin à ses jours selon les tout premiers éléments de l’enquête.
La jeune femme «dépressive», travaillant en «mi-temps thérapeutique» mais «désarmée» en raison de sa fragilité, aurait mis fin à ses jours «pour des raisons privées», selon des sources policières citées par l’AFP. La thèse du suicide est en effet «privilégiée» mais «reste à affiner» notamment sur ses circonstances exactes, précise-t-on.
Ce serait le second suicide de femme policier cette semaine après qu’une policière du commissariat de Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes) eut mis fin à ses jours lundi matin, après avoir laissé une lettre dans laquelle elle mettait en cause ses conditions de travail. La fonctionnaire de Toulouse n’a apparemment pas laissé de lettre et avait «de nombreuses difficultés d’ordre privé dont un avec la garde de ses enfants». […]
(merci à Mandrin)