Fdesouche

Le maire de New York (surnommée «Big Apple» par ses habitants), Michael Bloomberg, vante sans complexes les bienfaits de l’immigration dans sa ville où deux habitants sur trois en sont issus et tiennent souvent le haut du pavé même si les les 500 000 clandestins font les «sales boulots».

Plus de la moitié des immigrés de Big Apple sont déjà citoyens américains et, parmi ceux qui votent pour la première fois aux élections, 40% sont des immigrés. Ce qui leur confère un poids politique décisif.

En France, elle est toujours perçue comme «un danger» (à droite) ou «un problème» (à gauche). Aux Etats-Unis, l’Arizona, l’Alabama, la Géorgie ou encore la Caroline du Sud s’emploient à la juguler. A New York ? Michael Bloomberg, le maire, continue de vanter sans complexes les bénéfices de l’immigration. «Ce qui fait du mal aux immigrés nous fait du mal à tous», a-t-il coutume de dire. […]

Bloomberg est un véritable New-Yorkais. Petit-fils de juif russe, il sait que l’histoire de sa ville est celle d’un pays construit par l’immigration.[…] Prenez deux écoliers au hasard ; statistiquement, ils ont deux chances sur trois d’appartenir à des groupes ethniques différents. […]

Nouvel Obs

Fdesouche sur les réseaux sociaux