Le représentant du gouvernement (sous-secrétaire au ministère de l’intérieur) : “C’est une période d’urgence importante dans notre pays, aujourd’hui nous en sommes à 52 000 immigrés arrivés.”
En ce qui concerne les épisodes de violence qui ont eu lieu il y a quelques jours, il affirme : “Ces épisodes de révoltes sont des actes extrêmement graves, qui doivent être condamnés car ce n’est pas par la violence qu’on peut faire avancer les choses. Il faut donc ramener à la raison ceux qui se trouvent dans l’attente d’une reconnaissance du statut de réfugié”.