On a parlé du bric-à-brac des 1 500 pages élaborées par Breivik. Mais ce serait une erreur de sous estimer la force rationnelle de ce bric-à-brac, sa cohérence interne qui fournit des bonnes raisons pour agir comme on agit. Ce discours produit une clôture de sens, devient une vérité. […]
(merci à Anne)