La lassitude gagne les combattants de la révolution libyenne restés combattre à Bani Walid, l’un des derniers bastions des fidèles de Moammar Kadhafi. Confrontés à une résistance farouche, de plus en plus de volontaires quittent le front, découragés par la désorganisation et le manque de munitions dans leurs propres rangs.