Gérard Dussouy, universitaire, professeur de géopolitique à Bordeaux IV, fait autorité dans son domaine. Il livre son analyse sur la crise de la dette et en particulier sur l’actualité grecque : une bouffée bien nécessaire d’optimisme.
La mondialisation, contrairement à ce qu’en disent les adeptes d’Adam Smith (ceux qui voient en elle l’émergence d’une société globale, démocratique et pacifiée par la prospérité du marché), est un état de guerre. Les principaux enjeux n’en sont plus militaires, pour combien de temps nul ne le sait, mais commerciaux, financiers et monétaires. »