Le troisième et dernier débat des primaires socialistes s’achèvera, ce mercredi soir, sur un tour de force : l’évitement de la crise identitaire, qui est pourtant au cœur des inquiétudes de nombreux Français.
Les thèmes de ce soir seront la retraite, l’éducation, les services publics. Le bouleversement de la société et de son destin, causé par une immigration de peuplement et la survenue de l’islam, aura été imposé depuis trente ans par des dirigeants, de droite et de gauche, indifférents à l’avis des citoyens. Les six prétendants à l’Elysée ont à nouveau appliqué cet inexcusable abandon de la démocratie, avec l’aval des médias qui n’ont pas jugé utile de les interroger sur ces sujets, si ce n’est à la marge et très brièvement lors du deuxième débat. S’il est un domaine où la démission des élites “progressistes” se confirme, c’est bien celui ayant trait à la préservation du pacte social, de l’unité nationale et de la laïcité républicaine. Excusez du peu. […]