Entraîneur emblématique de l’ES Fameck, Youcef Bettahar a claqué la porte suite à des invectives lancées par des jeunes de la cité à l’encontre des dirigeants. Au cœur du problème : la légitimité d’une troisième équipe seniors.
(…) Jouant machinalement avec son téléphone portable, il poursuit :
« Ça, c’était avant. Avant que n’émerge le communautarisme. (soupir). On m’a reproché d’avoir trop de Français dans mes équipes… »
Et de couper court : « Je peux entendre beaucoup de choses mais je ne peux pas accepter l’idée que la liberté soit en danger. Le stademême situé en zone urbaine sensible doit rester une oasis ».
(Merci à Derville)