Il sera jugé le mois prochain pour complicité d’attentats dans les années 80. Emprisonné à la Santé, il a répondu aux questions de Libération. Une interview entre cynisme et provocation… Il salue à la fois le combat des Indignés et considère Ben Laden comme un exemple à suivre…
Sur sa vie quotidienne en prison, on apprend qu’il suit des cours de philosophie, et il raconte qu’il avait des discussions avec son voisin de cellule à la Santé pendant quatre ans et demi, le violeur de l’Est parisien Guy Georges, qu’il décrit à la fois comme un grand psychopathe et un excellent cuisinier…
Patricia Tourancheau pour Libération lui demande aussi quel candidat il choisirait s’il pouvait voter à la présidentielle… Toujours dans la provocation, il répond que vu l’absence de Jean-Marie le Pen, il donnerait par défaut son vote utile à Mélenchon, et au 2ème tour à la gauche… Cette interview un peu surréaliste de Carlos à lire dans Libération.