Le mouvement des indignés, né du printemps arabe et de la révolte espagnole, puis grecque, s’étend peu à peu. D’abord boudé par les grands médias, aujourd’hui la communication sur ce mouvement citoyen commence à s’organiser.
Face à l’oligarchie ambiante, celle de Wall Street principalement, politiques et économistes pointent du doigt les banquiers internationaux, les organismes de spéculation sauvage et les multiples agissements des gouvernements en place, véritables réseaux d’influence, voire de type mafieux. La force de ces Indignés repose essentiellement sur le caractère apolitique et l’indépendance du mouvement.
Mais voilà, force est de constater que dans les coulisses du pouvoir, quel qu’il soit, des faits plus que troublants émergent, et s’il n’apportent aucune réponse, ils soulèvent un questionnement sur le fond de l’histoire. Alors qui manipule qui ? Et, surtout, dans quel(s) buts(s) !»