Dix-sept familles, demandant asile en France et arrivant tout droit de Seine-Saint-Denis ont posé dernièrement leurs valises aux Mureaux. François Garay, le maire (DVG) de la ville, reste interloqué devant cet afflux.
« Nous ne sommes mis au courant de rien. C’est bien souvent les associations qui nous apprennent quand des familles arrivent. »
[…] Du côté du 115, on explique que les personnes sont envoyées « là où il y a de la place lorsque les capacités d’accueil du 93 sont atteintes. » Trop facile pour l’élu des Mureaux : « Certes nous avons de la place, mais pourquoi on ne réquisitionne pas des hôtels au Vésinet ou ailleurs ? » […](Merci à kaos)