Si CSCEC prospère en Algérie, pourtant auprès de la Banque mondiale elle figure tout simplement sur une liste rouge contenant plus d’une centaine de compagnies à travers le monde.
Depuis janvier 2009, le groupe chinois de BTP est interdit de contrats par la BM pour une période de six ans. Cependant, l’entreprise continue de prospérer en Algérie. Son dernier contrat fut le marché accordé par le gouvernement algérien pour la construction du centre international de conférences pour un montant de 688 millions de dollars.
Quelques jours plutôt, CSCEC avait obtenu le marché de la réalisation de la grande mosquée d’Alger pour un milliard d’euros. Il ne faut pas oublier une dizaine de contrats lors des dix années passées.[…]
Toutefois, l’entreprise chinoise peut toujours prospérer en Algérie, elle qui est mêlée à des affaires de corruption a même le droit à la construction de la Grande Mosquée. »