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En France, ils sont 50 000 à se partager une profession très réglementée. Rien que le droit d’entrée – la licence – peut atteindre les 150 000 euros, le prix d’une petite maison. Malgré ce tarif important, la liste d’attente est longue car le job, dit-on à mots couverts, serait lucratif. Mais qu’en est-il vraiment ?

Le métier n’est pas de tout repos. Il ne faut pas compter ses heures, tabler sur des clients généreux en pourboires, traquer les taxis clandestins et éviter de se faire agresser la nuit. La face cachée de la vie des taxis est plus spectaculaire que ne peuvent l’imaginer les clients. Alors, pour joindre les deux bouts, il y a aussi des petites combines. Réseau radio parallèle, pots de vin aux concierges d’hôtels, et même pour une minorité, de redoutables escroqueries notamment au détriment de la sécurité sociale.

Quelles sont les petites astuces et les grosses combines qui permettent à certains taxis de bien gagner leur vie ? C’est aussi une des professions les mieux organisées pour défendre ses intérêts, qui a fait plusieurs fois reculer le gouvernement. Quels sont les secrets de cette influence ?

(Merci à Blueman et à son remarquable blog)

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