Les coordonnées et les données personnelles d’un millier de députés, sénateurs, membres de cabinets et collaborateurs de ministres, tous membres de l’UMP, ont été piratées et sont librement disponibles sur Internet […]
Quatre fichiers texte ont été mis en ligne samedi 5 novembre et comportent un grand nombre de données sensibles :
numéros de téléphone fixe et portable ;
numéros de téléphone prioritaires ;
nom, adresse et numéros de téléphone de leurs suppléants ;
nombre d’enfants ;
année de naissance du cadet et de l’aîné des enfants ;
adresses personnelles et professionnelles.
Vu le type de cible, ce sont très probablement des “hacktivistes”. C’est probablement un travail préliminaire. Il est possible qu’ils publient 3 000 noms dans les prochaines heures. »