Les «nourrisseurs» de volatiles étaient la semaine dernière au centre d’un colloque auquel participaient des chercheurs.
Le volatile a ses détracteurs, très nombreux. À l’image de ceux qui, par exemple, se sont amusés à constituer un «groupement d’éradication des pigeons parisiens» sur Facebook. L’oiseau a aussi ses ardents supporteurs, prompts à dénoncer les «rafles» et la «précarité» dont il est victime. Véritable passion urbaine, le pigeon était la semaine dernière au centre d’un colloque organisé à l’initiative de Natureparif (agence régionale pour la nature et la biodiversité en Ile-de-France) et du groupe de recherche interdisciplinaire «le pigeon en ville», dirigé par Anne-Caroline Prévot-Julliard, chercheuse au CNRS et au Muséum national d’histoire naturelle.