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Le moment de vérité approche… Une prédiction signée José Manuel Barroso. Devant le Parlement européen, le président de la Commission a laissé entendre que la zone euro ne survivrait pas sans une intégration beaucoup plus forte.


La nature de plus en plus systémique de la crise a rendu évident le fait que nous devons progresser vers une gouvernance économique davantage intégrée, en particulier au sein de la zone euro. Cette crise a mis en évidence les faiblesses et les écarts en termes de surveillance, d’intervention et de prise de décision.

L‘étape suivante serait alors la mise en place des euro-obligations. Une évolution naturelle, a estimé José Manuel Barroso. La Commission doit présenter une première proposition la semaine prochaine.

Presque toute la zone euro – la Belgique, l’Autriche, la Finlande, la France, l’Italie – doit payer des taux d’intérêts plus élevés. Et cette crise qui atteint le noyau dur pousse Barroso et des dirigeants européens à parler de la nouvelle nature de la crise et du besoin de prendre des mesures plus audacieuses que par le passé “ , commente l’analyste Janis Emmanouilidis

Euronews

(Merci à Romégas)

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