Il y un moyen simple de résoudre la crise de la zone euro : que la Banque centrale européenne promette de prêter aux États en dernier recours. Mais cette solution défendue par de nombreux économistes est rejetée par l’institution. Une rigidité purement idéologique, déplore un éditorialiste du Monde [Alain Frachon].
Il suffirait d’une phrase pour endiguer la crise de l’euro, affirment nombre d’économistes. Une petite phrase que devrait prononcer la Banque centrale européenne. La BCE devrait dire haut et fort qu’elle jouera le rôle de prêteur de dernier recours pour les membres les plus endettés de l’union monétaire. Et l’euro se porterait mieux. »