Pour certains la baisse du niveau des élèves est une évidence, pour d’autres c’est un fantasme, mais la proportion des plus faibles augmente et leurs difficultés s’aggravent.
Erreurs grammaticales : En 1987 ils étaient 87% à ne pas en faire, 20 ans plus tard ils ne sont plus que 63%.
La plus grande difficulté est qu’il y a des «non-lecteurs» qui sont mélangés à d’autres qui lisent très bien et on a du mal à remédier aux difficultés de ces lecteurs-là car il nous manque des clés.” France 2 / JT de 20H – 22/11/2011