Nous considérons qu’il y a trop de complaisance envers ces groupes de malfaiteurs qui sont connus, qui sont fichés, mais qui sont laissés libres de leurs mouvements.”
Selon Lambert Mende, porte-parole du gouvernement, Léon Kengo, 76 ans, “a été agressé en gare du Nord par les bandes de ce qui s’appelle les ‘combattants’ proches d’Etienne Tshisekedi“. Ce dernier s’est autoproclamé “président élu” de RDC après le scrutin contesté du 28 novembre. Léon Kengo “aurait eu des dents arrachées, il a été piétiné, roulé à terre“. Léon Kengo étant en “visite privée“, le Quai d’Orsay a déclaré ne pas s’occuper de cette affaire et ignorer dans quel état de santé se trouvait le président du sénat congolais. Le ministère a néanmoins confirmé l’agression. […]
Le Parisien – 01/01/2012