Lu sur le blog de Christian Combaz. Extrait d’une lettre d’un ancien professeur qui, par goût pour les études, s’est ré-inscrit à l’université de Perpignan, pour y suivre des cours.
“Ma fac est la plus importante filière de travail clandestin du département. (…) Alors que, dans mon année, nous sommes 140, rares sont les cours qui accueillent plus de 5 étudiants (dont moi). Nous sommes 3 Français, face à 137 musulmans, maghrébins ou africains. (…) Je me suis ainsi aperçu que 80% d’entre eux n’avaient que faire des études en France, mais, munis du sésame que constituait une inscription à l’université, ils avaient facilement obtenu un permis de séjour qui leur permettait de circuler librement dans toute l’Europe. Source
Merci Kalamine