Dimanche 15 janvier, à Grand-Quevilly, dans la banlieue de Rouen (Seine-Maritime), Marine Le Pen a promis que, si elle était élue à la présidence de la République, elle serait extrêmement ferme contre les dérives communautarismes et l’intégrisme et a dénoncé le mondialisme.
Les intégristes doivent savoir qu’ils trouveront face à eux et pour la première fois depuis des décennies, un pouvoir extrêmement déterminé.
«Le mondialisme, ce n’est pas seulement un système économique sauvage (…), c’est aussi une idéologie qui va au-delà de la simple mondialisation et qui vise à uniformiser les cultures, à encourager le nomadisme la circulation permanente d’hommes déracinés d’un continent à l’autre à les rendre interchangeables, en somme à les transformer en anonymes» a déclaré Mme Le Pen. […]
«Immédiatement, les prières de rue (…) prendront fin. Il ne sera plus question de financer par un biais détourné la construction des mosquées (…). C’est bien ça la République et certainement pas les reculades permanents du couple Sarkozy-Guéant habitués à se coucher devant toutes les revendications communautaristes. (…) Trop de laisser faire, trop de démissions, trop de laxisme ont miné la République française et la laïcité», a-t-elle notamment lancé.[…]