Le site pointant du doigt des fonctionnaires de police outrepassant leurs pouvoirs est revenu en ligne mardi sous une nouvelle adresse. Le ministère de l’Intérieur va demander aux fournisseurs d’accès de bloquer à nouveau son accès.
Trois mois après son blocage par la justice sur tout le territoire français, le site Copwatch est revenu en ligne mardi sous une nouvelle adresse. «Le ministère de l’intérieur français a voulu nous interdire. Il a échoué. Aujourd’hui, c’est à nous de lui rendre la donne», peut-on lire dans un communiqué publié sur le nouveau site sous le nom «l’État censure, Copwatch renaît». (…)