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L’idéologie antiraciste est une plaie pour la démocratie. Elle détourne les mots et les regards au profit de minorités protégées qui tentent de subvertir la République avec l’appui de faiseurs d’opinion somnolents.

Le fait que François Hollande refuse de présenter les excuses du PS et que son lieutenant  Michel Sapin dise “comprendre parfaitement”, ce mercredi matin sur RFI, l’outrance du parlementaire,

rappelle combien la gauche est imprégnée de cet antiracisme qui ne dit rien, par exemple, des nouvelles formes de racisme et d’antisémitisme qui s’observent au sein de certaines communautés protégées :

un fait que dénoncent, ce mercredi dans Libération, des “Français juifs et de gauche” qui demandent de raviver “les valeurs d’humanisme, de tolérance et de respect”…

La France saura-t-elle s’extraire de cette prison intellectuelle, qui met scandaleusement les opinions sous surveillance pénale (l’association Riposte Laïque étant la dernière victime en date) et interdit d’aborder les réalités qui dérangent? Le hasard de l’actualité veut que le Conseil de Paris a voté, mardi, l’attribution du nom d’Alexandre Soljenitsyne à une place Porte Maillot (XVI e), en dépit de l’opposition de certains élus de gauche qui veulent voir dans l’écrivain russe un antisémite pour l’un, un homophobe pour l’autre. Soljenitsyne a le mieux décrit, notamment dans L’archipel du Goulag, ce qu’est l’omniprésence du mensonge idéologique et de sa novlangue, mis au service d’une société totalitaire.

L’intellectuel libéral, lecteur de Montesquieu et Tocqueville, explique que c’est par refus délibéré de la réalité que se construisent ces mondes faux et oppressifs, détachés des faits, des hommes et du sens commun. (…)

 

Le Figaro

 

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