On connaissait le François Hollande le corrézien, mais depuis qu’il brigue l’Elysée, voilà qu’il revendique ses racines rouennaises.
(…) c’est devant la maison de son enfance, au 90 rue des Carmes, entouré par quelques journalistes nationaux triés sur le volet, qu’il s’est recueilli.
Fils de Georges Hollande, médecin ORL engagé après-guerre dans la droite dure locale, le candidat a vécu à Bois-Guillaume jusqu’à ses 14 ans.
Une enfance rouennaise qu’il n’a pas manqué d’évoquer lors du meeting, se présentant comme “un exilé, un corrézien-normand. Il faut croire au métissage !”