Discutant du déplacement chahuté de Nicolas Sarkozy à Bayonne, l’éducateur Etienne Liebig s’insurge que l’on s’indigne de l’emploi du mot “rafle” pour désigner les arrestations de clandestins. Il justifie également la violence envers les politiques. Avec Marie-Anne Soubré, Franck Tanguy et Etienne Liebig.
“Pour les roms qui se font virer à 6 heures du matin dans la bouillasse en hiver avec les gamins qui sont jetés dans la boue, je dis : ce sont des rafles ! Quitte à me faire engueuler par tout le monde, je le dis !” – Etienne Liebig