(…) A l’enquête ouverte par la police, Alban Faroux a affirmé qu’il a été torturé, déshabillé et filmé nu avant d’être abandonné dans la rue par ses ravisseurs.
L’épouse de la victime a par ailleurs indiqué qu’il avait des ennuis au travail où il est accusé de racisme par des employés camerounais.
Une collaboratrice du consul général de France à Douala, visiblement embarrassée par l’affaire, a dit ne pas être au courant.