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Non satisfait d’avoir chassé les français, exterminé les harkis et leur famille, forcé les algériens israélites à quitter le pays, bafoué la culture Kabyle et interdit aux Kabyles chrétiens de pratiquer librement leur culte, les autorités algériennes ont opéré un véritable nettoyage ethnique.

Un nettoyage occulté, ou minimisé, évidemment par l’Algérie et sa presse car il constitue, sur le plan des droits humains et des conventions internationales, une violation.

Cet épisode honteux des autorités algériennes n’est en fait que la traduction de la haine de ces mêmes autorités envers les marocains et motivé par des abominables vues anti-marocaines.

(…) En ce 18 décembre 1975, jour de l’Aid Adha, une des plus importante fête musulmane, les autorités algériennes de l’époque ont commis l’irréparable : 45.000 familles marocaines, soit plus de 350 000 personnes,

installées en toute légalité dans ce pays depuis le 19ème siècle ont été déportées d’une manière brutale et inhumaine après avoir été dépouillées de tous leurs biens et cruellement séparées des leurs, pour ceux issus de mariages mixtes.

Il est à rappeler que ce drame humain est le résultat de la folie de Boumediene et de son ministre des affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika, tous deux du clan d’Oujda et principaux artisans de la confiscation de l’indépendance algérienne et des assassinats des chefs kabyles et du meurtre de milliers de kabyles.

Il est à souligner que cette grave décision, saugrenue et grotesque, est également intervenue en réaction à la marche verte décrétée par feu Hassan II deux mois auparavant, au courant du mois de novembre de la même année.

(…) Malheureusement le drame de cette communauté marocaine reste peu connu à travers le monde,

mais ce qui est encore plus grave et choquant, c’est le comportement hypocrite de certains humanitaires et autres responsables politiques qui ne sont pas choqués et inquiets de la situation dans laquelle vivent ces 350 000 personnes ni de celle dans laquelle se débattent les séquestrés des camps de Tindouf.

Pour conclure mon propos, je vous livre une déclaration faite par Nacer, un des fils de feu Mohamed Boudiaf, président algérien assassiné Elle résume a elle seule la cruauté des ces dirigeants et l’état de déliquescence dans lequel se trouve l’Algérie.(…)

E Marrakech.infos

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