On était là, avec Mohamed Saïdi et Farid Aït Kicha sur le vaste terrain vierge de 1000 mètres carrés que l’association maghrebine d’Avallon vient d’acheter à la ville. Juste en face, derrière les remparts médiévaux, s’élèvent les deux clochers qui signent Avallon, celui de la tour de l’Horloge et celui de la collégiale Saint-Lazare.
La phrase a jailli, comme une évidence. “Notre mosquée, je la voudrais en pierre du Morvan!”