Le parti de l’In-nocence constate que se poursuit inexorablement, notamment en milieu rural, la destruction d’églises et de tout un patrimoine architectural et artistique.
L’État se dégage toujours plus de ses responsabilités dans ce domaine comme dans tant d’autres, et les collectivités publiques suivent ce mouvement, bien qu’elles sachent trouver des “solutions” contournant grossièrement la loi de 1905 quand il s’agit de favoriser la construction de mosquées, dont le nombre va croissant alors qu’elles ne sont en rien indispensables au culte islamique, que leur architecture est sans rapport avec leur environnement, et que, financées par des fonds pour l’essentiel étrangers, elle sont le plus souvent le terrain d’action de fondamentalistes décidés à promouvoir les obligations les plus régressives de la religion islamique, et à faire par là obstacle à toute intégration sincère et véritable.
Le parti de l’In-nocence, après son Président Renaud Camus, estime que «La France n’est pas une terre d’islam, elle ne l’a jamais été et elle ne désire pas le devenir ». Il estime d’autre part que la préservation des édifices religieux constitutifs du patrimoine architectural et culturel du pays devrait être une priorité nationale. Les églises qui ornent nos villes et nos villages doivent être entretenues et restaurées sur le budget national ou les budgets régionaux si la taille de la commune d’implantation rend insupportable cette charge à ses habitants, afin de maintenir les lieux qui ont constitué le foyer spirituel de notre civilisation durant presque deux millénaires. Seul le souci de notre passé et de l’œuvre du Temps peut nous désensorceler du pseudo présent perpétuel qui interdit toute culture dans l’hébétude entretenue par tous les moyens dits de “communication”, seul il peut nous déprendre du faux généralisé et de l’emprise des totalitarismes qui s’annoncent.