Communiqué de Presse de Jean-Marie Le Pen, Président d’Honneur du Front National
Les censeurs socialistes dirigeant la région PACA refusent que Jean-Marie Le Pen publie dans le journal de la Région, comme la loi l’impose, l’article suivant :
“1962-2012 : Non aux subventions à la FNACA !
Le cessez-le-feu du 19 mars 1962 devait permettre la fin des violences dans les départements français d’Algérie. Cette date marqua en fait la multiplication des massacres : entre le 19 mars et l’été 62, plus de civils furent assassinés que durant les 8 ans de guerre ! Des milliers d’Européens et des dizaines de milliers d’Harkis périrent torturés, mutilés, égorgés pour avoir choisi la France et non le terrorisme. Malgré cela, l’exécutif régional subventionne régulièrement des associations telle que la FNACA qui cautionnent de fait ces crimes en célébrant le 19 mars 1962. […]
Aujourd’hui, les représentants de l’UMPS favorisent l’implantation en PACA d’individus dont, trop souvent, la haine de la France éclate au grand jour, brûlant le drapeau tricolore, sifflant la Marseillaise, insultant, agressant ceux qui ont à leurs yeux le seul tort d’être français.
Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre. Un demi-siècle après ces évènements, nous sommes les seuls à ne pas oublier…”
Le président du Conseil régional, Michel Vauzelle, a fait signifier à plusieurs reprises par son directeur de cabinet qu’il refusait de publier l’article du groupe Front National dénonçant les subventions aux associations telles que la FNACA qui militent pour commémorer le funeste 19 mars 1962. Faisant fi de la liberté d’expression, il ose exiger que soient supprimés dans l’article les termes « torturés, mutilés, égorgés » concernant les harkis massacrés après le 19 mars 1962, « CGT » à propos de certains dockers passant par-dessus bords les biens des Pieds-noirs rapatriés en Métropole, et « socialiste » à propos du maire de Marseille Gaston Deferre. […]
Les héritiers du socialisme, du communisme comme du gaullisme ont-ils honte de leur passé ? […] Jean-Marie Le Pen engage dès à présent un recours devant le tribunal administratif pour que les 23% d’électeurs de la Région PACA qui lui ont fait confiance puissent disposer de représentants libres de leur expression. […]