A la suite du refus de l’intersyndicale de recevoir Marine Le Pen qui souhaitait rencontrer les salariés menacés de perdre leur emplois, le Font National du Maine-et-Loire et son secrétaire départemental Gaétan Dirand ont organisé un tractage à la sortie du site ce vendredi.
Cette unité de production doit voir son activité délocalisée prochainement en Asie.
«La suppression d’un droit de douane de 14% décidée par Bruxelles étant à l’origine de cette fermeture les militants du front sont allés expliquer aux salariés que le FN était le seul à exiger la renégociaton des traités européens et le retour à une réelle protection à nos frontières», explique Gaétan Dirand.
Ouest-France