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Le quotidien algérien El Watan publie à nouveau deux interviews de François Hollande, la première en juillet 2006 alors qu’il était premier secrétaire du parti socialiste, la seconde en décembre 2010 alors qu’il était candidat à la candidature des primaires socialistes, qui montrent «un intérêt profond et une proximité réelle avec l’Algérie».

A la tête de l’Etat français pour cinq ans, François Hollande traduira-t-il en actes ses déclarations de rénovation des relations entre l’Algérie et la France ? Dans quelques mois l’Algérie célèbrera le cinquantième anniversaire de son indépendance. Voilà une opportunité pour ce faire.
«Près de 3 millions de citoyens français puisent une part de leurs racines en Algérie. Nos deux pays sont liés par l’histoire, par la géographie, mais aussi, par des valeurs communes que les échanges entre nos populations contribuent de diffuser.» […] «Dans ce monde qui se globalise, l’Europe et l’ensemble des pays de la Méditerranée doivent se construire une communauté d’intérêt commune. C’est en tout cas le sens que nous entendons donner à notre politique envers l’ensemble du Maghreb.» «Dans ce cadre européen, il va de soi que des relations privilégiées doivent être développées entre la France et l’Algérie, tant nos deux pays ont des intérêts communs.»
Pour précision dans son livre Devoirs de vérité (Entretiens avec Edwy Plénel, éditions Stock, 2006) François Hollande prend position pour que la France présente ses excuses pour son passé colonial et ses conséquences. […] El Watan

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