09/05/12
A Marseille :
(Merci à Kent)
Les Algériens résidant en France sont appelés aux urnes du mardi au jeudi 8 mai pour élire leurs représentants au parlement. A Marseille, le scrutin à débuté dans le désordre et la confusion au point d’empêcher durant plusieurs heures la surveillance des opérations de vote. Plusieurs partis ont immédiatement dénoncé des irrégularités, voire des actes de bourrage des urnes.
Bousculades, occupation de bureaux de vote, manipulation des bulletins, candidats en campagne improvisée sur les lieux, distribution de consignes à haute voix… le scrutin des législatives algériennes a démarré mardi 8 mai à Marseille dans le désordre et la confusion, un contexte propice à la fraude, dont ne se seraient pas privés les personnes représentants les partis au pouvoir, RND et FLN.
Mediaterranée
Les Algériens vivant en France sont sollicités pour élire les députés représentant les Algériens de France.
Depuis hier, les ressortissants algériens sont appelés à voter pour choisir leurs parlementaires.
Ils ont jusqu’à jeudi 22h00 pour exprimer leur choix. Du fait du calendrier présidentiel français, les élections législatives algériennes se déroulent sur 3 jours au lieu de 6.
800 000 électeurs algériens sont inscrits en France.
France 3 IDF
8/05/12
Les Algériens de France ont commencé à voter pour élire leurs représentants à l’Assemblée populaire nationale algérienne. Les Algériens forment la première communauté étrangère dans l’Hexagone. Toutes générations et tous statuts (binationaux et résidents) confondus, ils seraient plus de trois millions, selon des sources consulaires algériennes.
Mardi matin, les électeurs, parmi lesquels de nombreux Chibanis (travailleurs retraités), se pressaient rue Bouret, dans le 19ème arrondissement de Paris, où sont regroupés cinq bureaux de vote. […]
«On vote pour le changement, la paix, le travail pour les jeunes», explique à la sortie du bureau de vote une femme de 55 ans, venue en famille. «On veut se sentir impliqués dans la politique de l’Algérie», renchérit sa fille, 24 ans, étudiante en droit.
Le Parisien