Du 11 au 26 mai, le Festival de l’amitié et de la citoyenneté part à la rencontre du continent africain, sans clichés et au-delà des apparences.
« Ouvrir sa culture à l’autre permet de lever les incompréhensions et de faire reculer les discriminations tout en valorisant le mieux vivre ensemble »
Plus qu’un simple événement, le Festival de l’amitié et de la citoyenneté symbolise à lui seul l’ADN de la ville, comme le rappelle Jean-François Boudaillez, adjoint à la culture : « Roubaix est une sorte de chaudron qui pourrait à tout moment exploser : ville la plus pauvre de France, elle réunit aussi une quarantaine de nationalités et cinquante langues différentes. Et pourtant, les gens se rencontrent, vivent et construisent ensemble, forts de leur diversité culturelle. » (…)
L’ensemble de l’équipe municipale des acteurs associatifs partagent une conviction forte : ouvrir sa culture à l’autre permet de lever les incompréhensions et de faire reculer les discriminations tout en valorisant le « mieux vivre ensemble ».
En 2011, la rencontre avait réussi à toucher plus de 7 000 personnes. Toujours dans l’idée de rencontre entre les cultures et de transmission de la valeur vivre-ensemble, plusieurs ateliers ont été mis en place. (…) À l’ARA, les collégiens roubaisiens ont découvert la musique malienne à travers l’initiation au tama, tambour traditionnel d’Afrique de l’ouest.
Nord Eclair
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