En interviewant Louis Aliot, vice président du FN, dans l’émission de Laurent Ruquier, quelques jours après la nomination comme ministre de son compagnon, Arnaud Montebourg, avec qui elle s’affiche dans des soirées socialistes, Audrey Pulvar a définitivement convaincu qu’elle n’avait aucune déontologie journalistique et un sens de la démocratie aléatoire. Quand on représente la bonne morale, on peut passer au dessus des lois…
Malgré la polémique légitime sur sa position scandaleuse de femme de ministre/journaliste politique, Audrey Pulvar a décidé de rester journaliste sur une chaine du service public, dans l’émission politique la plus regardée du pays. On a retrouvé la « sexy propagandiste », distillant ses leçons de morale au numéro 2 du FN, Louis Aliot.
Une femme de ministre comme analyste politique dans les médias : comment définir cela autrement que par le mot « propagande » ?
Dans quelle genre de république bananière, dans quelle régime communiste, dans quelle monarchie absolue, dans quelle théocratie, la femme d’un ministre se permet-elle de se placer en journaliste pour poser des questions aux opposants politiques de son homme ? Quand on pense qu’un journaliste sportif s’est même fait virer pour avoir tweetté une mauvaise blague sur la femme du président, une autre journaliste officielle, on se dit que les informations vont avoir un sacré filtre lors des 5 prochaines années
D’ailleurs, l’intello en mini jupe a été fidèle à son dévouement au parti samedi dernier. Face au candidat frontiste, sa haine de militante socialiste n’a pas été dissimulée longtemps et ses discours anti-FN fleuraient bon les années 80.
« Marine Le Pen stigmatise les immigrés » : la phrase magique de la gauche française pour marquer du sceau de l’infamie le Front National et au passage ses électeurs.
Une fois de plus, elle a bien récité son credo la Pulvar, c’est Arnaud qui va être content !
Que les Français se réveillent le mois prochain et que cesse cette foire grotesque jouée par la smala du PS depuis le 6 mai !!
24heuresactu