À Montréal, mieux vaut s’appeler Bélanger que Traoré ou Ben Saïd pour trouver un emploi, révèle la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ) dans une étude parue aujourd’hui.
Un test démontre que, à qualifications et compétences égales, les candidats dont le nom a une consonance québécoise ont 60% de plus de chances d’être invités à un entretien d’embauche que ceux qui ont un nom à consonance africaine, arabe ou latino-américaine. (…)
La Presse