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Le collectif Sauver les lettres s’émeut dans un communiqué de presse de la facilité de l’épreuve de français de brevet 2012, qu’il estime de niveau 6e. “On n’interrogeait sur aucun des points de programmes de troisième” au cours de cette épreuve qui “portait presque intégralement sur la seule compréhension littérale d’un début de conte”.
Le collectif détaille que les collégiens devaient “accorder trois adjectifs qualificatifs au pluriel, transformer deux verbes au passé composé” et qu’aucune question de grammaire n’a été posée.

“Nul doute que l’on informera très vite ceux qui montent l’an prochain en troisième : inutile de travailler pour le brevet, les souvenirs de 6e suffisent ; quant à la grammaire, on n’en parle plus”.

Le Figaro
(Merci à Chantecler)

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