Cette affaire, tristement banale, relève des faits-divers. Elle est pourtant aujourd’hui politique de par la volonté de l’Etat PS et du maire de Toulouse.
Le 30 mars dernier une bagarre violente opposait des marginaux dans le centre de Toulouse. Victime d’un coup de pied au torse, un étudiant chilien de 37 ans tombait au sol. Sa tête frappant un trottoir, l’homme faisait alors un coma. Il serait aujourd’hui hémiplégique.
L’affaire est tristement banale et relève des faits-divers. Elle est pourtant aujourd’hui politique de par la volonté de l’Etat PS et du maire de Toulouse.
Car nous sommes à Toulouse, ville de gauche dont le maire, Pierre Cohen a déclaré voici quelques mois qu’il fallait éradiquer le Bloc Identitaire, par le rapport de force physique au besoin. Toulouse, place forte de l’extrême-gauche qui, depuis plusieurs mois, harcèle le mouvement identitaire à grands coups de manifestations, d’attaques de nuit et de dénonciations injurieuses. Toulouse où la racaille islamiste a également menacé à plusieurs reprises des militants identitaires. Toulouse où les accointances entre le milieu interlope gauchiste et la police politique sont notoires. Toulouse, enfin, où la vaine perquisition du local identitaire s’est faite à l’aube mais sous le feu de caméras et de photographes de presse qui passaient là par hasard, bien sûr.
Jamais, dans aucune ville où il a ouvert des locaux, le mouvement identitaire n’a connu un tel acharnement, autant de manipulations, de haine et de répression.
En trois mois, l’enquête pour identifier l’agresseur de l’étudiant chilien n’avait pas progressé. La victime disait ne se souvenir de rien. Les témoins étaient dans l’incapacité de désigner un agresseur. Cette absence absolue de faits et d’indices, n’a pas empêché la police d’interpeler ce mercredi 13 personnes dont le responsable local du mouvement identitaire. Pour ce faire, l’Etat a envoyé le GIPN ! Cet Etat impuissant face à la racaille, cet Etat qui rampe à la porte des cités interdites, n’a pas hésité à envoyer l’élite de la police pour une enquête de fait-divers qu’il faut à tout prix transformer en affaire politique.
Après 48 heures de garde à vue, tous les interpelés ont été relâchés. Tous ? Non, l’un d’entre-eux a été incarcéré à titre préventif.
A-t-il avoué quoi que ce soit ? Non.
Quelles sont les preuves recueillies contre lui ? Des témoignages confus, contradictoires et peu fiables, de personnes n’appartenant pas au mouvement identitaire.
Mais cette incarcération – annoncée par la police depuis plusieurs jours à divers témoins – est destinée à faire pression sur ce militant. La méthode est digne d’un Etat policier du tiers-monde. Avouez et on vous libèrera…
Face à ces méthodes immondes, le mouvement identitaire dit ici sa totale solidarité avec ce militant incarcéré. Il prévient le maire de Toulouse, le procureur de la République, le ministre de la Justice, Christiane Taubira, et l’ensemble des forces de répression de l’Etat socialiste : aucune persécution, aucune injustice, aucun procès n’empêchera notre combat politique.
Bien entendu, toutes les démarches judiciaires possibles seront entreprises dès lundi afin d’obtenir la libération rapide de ce militant et mettre fin à une incarcération aussi politique qu’arbitraire.
PS : l’autre personne mise en examen dans cette affaire et placée sous contrôle judiciaire n’appartient pas au mouvement identitaire contrairement à ce qui a été indiqué par la presse.
Bloc Identitaire