La tension, suscitée par la venue journalière de bandes de jeunes en train à 1€ sur le Grau-du-Roi, monte de jour en jour chez les commerçants tandis que la population paraît sensibilisée au problème.
La délégation de commerçants a rencontré le secrétaire général de la préfecture et lui a fait part de la situation. Hier, dans nos colonnes,
le directeur d’un supermarché du centre-ville a témoigné en rapportant les actes commis dans sa surface de vente par un groupe de jeunes.