Le renseignement intérieur était bien en contact avec le tueur de Toulouse au point de l’appeler régulièrement.
Les fadettes de Mohamed Merah ont parlé. Les factures détaillées de son numéro de portable apportent leurs lots de révélations.
On y apprend que la DCRI a eu huit contacts téléphoniques avec le tueur de Toulouse et Montauban entre le 22 octobre 2011 et le 19 mars 2012, jour où le djihadiste a assassiné quatre personnes, dont trois enfants, à l’école confessionnelle Ozar-Hatorah à Toulouse.
Le Point
(Merci à Antibarbare)