Il y avait eu l’affaire du tweet malheureux signé Valérie Trierweiler. Loin de Paris, elle allait pouvoir souffler, croyait-elle… Les Paparazzis de Match et de VSD ont encore “shooté” Valérie Trierweiler ! Dur, dur d’être première dame.
Ce matin, Valérie Trierweiler doit sans doute regretter le temps où elle n’était « que » journaliste.
C’est vrai, son rôle de première dame lui accorde quelques privilèges. Comme celui de réaliser, dans la rubrique culture qu’elle a fraichement intégrée, les entretiens-phares de Paris Match.
Dans l’édition de cette semaine, elle signe deux pages d’interview avec l’écrivain notoirement reconnue comme pondeuse (régulière) de best-sellers, Amélie Nothomb. Un entretien réalisé avant son départ pour le fort de Brégançon où elle allait enfin pouvoir souffler. Enfin le croyait-elle !
Il a fallu une toute petite semaine après leur arrivée dans le lieu de villégiature présidentiel, pour que « Valérie » – c’est ainsi que l’appelle Paris Match en une – se retrouve exposée, shootée à son insu par un paparazzi et pas vraiment mise en valeur, dans les pages de son propre journal et celles de VSD titré – assez peu élégamment – «normaux jusqu’au bout du maillot».
Ce même jour où l’on dévoilait les –mauvais– résultats de son livre.
Le roman-photo retraçant les 400 jours d’accession au pouvoir de son « homme » s’est vendu à quelques 1174 exemplaires selon Edistat. Un flop total. (…)
Marianne 2
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