Mohamed Malha a beau retourner sa situation dans tous les sens, cet infirmier algérien de 52 ans ne comprend pas pourquoi depuis plus d’un an maintenant, il n’arrive pas à faire entendre sa voix auprès de la préfecture de l’Isère qui, le 4 mars 2011, a pris un arrêté de reconduite à la frontière à son encontre.
Et ce malgré son emploi stable d’aide-soignant en CDI depuis juillet 2010 dans un établissement pour personnes âgées de l’agglomération grenobloise, malgré des certificats de travail et des lettres de médecins qui attestent de ses compétences, malgré l’engagement de son employeur qu’il « pourra reprendre son poste à réception d’un titre de séjour l’autorisant à nouveau à travailler »… […]
(Merci à natacha3)