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Depuis plusieurs semaines, en Tunisie, les débordements et affrontements provoqués parles mouvements salafistes ne cessent de se multiplier. Dans le même temps des émissions satiriques sont censurées et des artistes empêchées de se produire. un climat de terreur qui fait craindre une complicité entre le gouvernement, les islamistes au pouvoir, et les salafistes.
« Les salafistes font la police à Sidi Bouzid » ; « Des salafistes maltraitent l’imam de la mosquée Errahma à la Cité El-Khadhra » ; « Ennahdha au cœur des violences, mercredi soir, à El-Hancha » ; « affrontements entre salafistes et chiites dans la ville de Gabès » ; « un élu français agressé par des salafistes à Bizerte » ; mais aussi des émissions de télévision satiriques arrêtées, des artistes empêchées de se produire sur scène, des festivals annulés sous la menace des salafistes.
Depuis quelques jours, les titres de la presse tunisienne en disent long sur le climat de terreur que font régner les islamistes dans le pays.
D’après le site Maghreb Intelligence, plusieurs sections locales d’Ennahada dans le centre et le sud-est du pays
« sont aujourd’hui les otages d’activistes salafistes qui disposent d’argent en provenance des pays du Golfe et comptent sur l’appui de généreux donateurs parmi la diaspora tunisienne en Europe ». […] Marianne

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