La police marocaine a arrêté puis expulsé quelque deux cents migrants d’origine subsaharienne qui se trouvaient en “situation irrégulière” au Maroc.
Ces arrestations ont eu lieu pour l’essentiel à Tétouan et Nador, dans le nord du Maroc, mais aussi dans la capitale Rabat, selon l’Association marocaine des droits humains (AMDH).
Le Figaro