Dans son dernier ouvrage, intitulé La gauche et la préférence immigrée, publié chez Plon, Hervé Algalarrondo met les pieds dans le plat.
Cet éditorialiste du Nouvel Observateur prend le risque de fâcher tous les « bobos de gauche », ces « bourgeois-bohême » qui donnent le ton au Parti socialiste, en appuyant là où cela fait mal.
Selon lui, la gauche française a tout bonnement abandonné le monde ouvrier, qu’elle ne comprenait plus, au profit des immigrés. (…)
RFI