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Dessin animé Kirikou, le petit garçon courageux et malin du réalisateur Michel Ocelot, est de retour. Grâce à un enfant Touareg, il a envie d’apprendre une nouvelle langue.
Quatorze ans après la sortie au cinéma de Kirikou et la sorcière, inspiré d’un conte de l’Afrique de l’Ouest, le petit garçon au pas de course aussi rapide que son audace et son cœur sont grands revient dans un troisième dessin animé, Kirikou et les hommes et les femmes.
Curieux, imaginatif et courageux, Kirikou apporte à nouveau son aide aux villageois. Pour la première fois, un garçon blanc apparaît dans l’une des cinq histoires  de ce volet. C’est un Touareg. En l’apercevant, avec la peau blanche et des vêtements bleus, les enfants du village de Kirikou en ont peur. «Il doit être très malade.» «C’est le garçon incolore.» «Pourquoi met-il son corps dans une prison?» Un rejet de cinéma, malheureusement proche de la réalité: «Je ne le savais pas, mais c’est en train de se passer. Des pays noirs combattent les Touareg et ça passe par des violences extrêmes», regrette le réalisateur Michel Ocelot.
Kirikou est le seul à entrer en contact avec le jeune Touareg, qui parle tamacheq. «Je pense que cette histoire est juste parce qu’on voit arriver le racisme très naturellement, comme on le voit repartir très naturellement.

Entre individus, je suis sûr qu’on peut s’entendre. S’il s’agit de groupements politiques ou de religions, je ne sais pas quoi faire.» (…)

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