Obélix, c’est moi ! Énooorme. Et ça m’enchante à chaque fois de retrouver sa vulnérabilité. J’ai une tendresse particulière pour ce rôle qui me sauve de beaucoup de conneries. Et croyez-moi, je n’en suis jamais à l’abri. (…)
Il est également question des sans-papyrus.
J’adore l’idée que les Bretons ont trouvé leur boisson nationale (le thé) grâce à un étranger. Si la France pouvait ressembler à ce village qui vit en autarcie, avec des a priori mais sans racisme aucun, ce serait pas mal !
Mais il y a des limites à la tolérance : le sanglier bouilli à la menthe, jamais !
L’Alsace.fr