Nos récents articles sur l’éducation civique et l’enseignement de l’Histoire ont suscité plusieurs témoignages. La propagande politique de gauche auprès des jeunes français commence plus tôt. Dès l’école. C’est ce que constate l’un de nos lecteurs, basé dans le département de l’Aude. Scolarisé en CM2, son fils vient de réaliser une fresque (ci-dessus) retraçant les grandes dates de l’Histoire de France de 1515 à 1848.
« Sur ces trois siècles d’Histoire, sont représentés, comme repères dans le temps : huit guerres de religion ; l’occupation de la Martinique ; la traite négrière ; l’arrivée des premiers esclaves africains ; la publication du code noir et la défaite de Waterloo », constate le père de famille. Il ajoute : « Je m’interroge sur l’image de la France que nous transmettons à nos enfants. Ne leur apprendrait-on pas uniquement les fautes dont ils devront se repentir plus tard ? Comment peuvent-ils être fiers de leur patrie avec de tels enseignements ? »
Au cœur de cet enseignement dans le primaire, il s’agit de persuader les enfants que le Blanc capturait seul le Noir afin de le réduire en esclavage. Une falsification de la réalité historique. Comme le rappelle Alain Mabanckou dans l’ouvrage qu’il a publié en 2012 chez Fayard, Le sanglot de l’homme noir, « la responsabilité des Noirs dans la traite négrière reste un tabou parmi les Africains, qui refusent d’ordinaire de se regarder dans le miroir. Toute personne qui rappelle cette vérité est aussitôt taxée de félonie, accusée de jouer le jeu de l’Occident en apportant une pierre à l’édifice de la négation ».
(…) Novopress
(Merci à NSEG)