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[…] [Le débat sur le mariage homosexuel] est une vaste opération d’enfumage. On parle de sujets sans importance par rapport à ceux dont on devrait parler, comme celui de l’immigration massive et de ses conséquences dramatiques pour l’avenir de la France, de la paix civile, de la sécurité, voire de l’existence même de notre pays.
Vous êtes d’accord avec Renaud Camus quand il parle de « grand remplacement » ?
Entièrement. On assiste actuellement à une substitution de fait de la population, dont les échéances vont être bien plus proches qu’on ne l’imagine. Car, derrière les chiffres que l’on s’évertue à masquer, il faut également prendre en compte la moyenne d’âge : la population d’origine étrangère est beaucoup plus jeune et donc en âge de procréer, de se reproduire bien plus que nous. C’est d’ailleurs un phénomène qui ne touche pas que la France, mais tout le continent boréal : de Brest à Vladivostok.
Dans ce cadre-là, que penser du vote des étrangers aux élections locales ?
Il est symbolique — il faut donc s’y opposer pour une question de principe —, mais il est dérisoire. Il ne représente aucun danger car ces gens-là ne voteront pas. Ils n’iront pas s’inscrire sur des listes électorales qui les désigneront comme « étrangers ». C’est beaucoup moins grave que les 750 000 naturalisations effectuées par Monsieur Sarkozy durant sa présidence. Les conditions géo-politiques dans le monde sont telles que les flux migratoires vont devenir torrentiels.
Par conséquent, les pays qui n’auront pas pris la précaution de se mettre à l’abri de ces torrents, de s’en défendre, sont condamnés à être submergés.
Et donc, dominés.

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