Jean-Louis Masson, sénateur (divers droite) de la Moselle, a appelé jeudi 25 octobre l’UMP à «accepter de dialoguer avec Marine Le Pen», considérant que « le mur politicien entre le FN et la droite parlementaire traditionnelle » était «artificiel».
Le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé, «dit exactement la même chose que Mme Le Pen lorsqu’il dénonce le racisme anti-Blancs ou lorsqu’il évoque l’exemple du petit pain au chocolat en période de ramadan», estime dans un communiqué le parlementaire, qui avait soutenu Nicolas Dupont-Aignan à la dernière présidentielle. «M. Copé et ses amis de l’UMP devraient en tirer les conséquences et accepter de dialoguer avec elle», ajoute-t-il.
Le Monde/AFP